Fragments de Bobin


Une pulsation de l'énigmatique banalité des jours.

Une vie rougie de maladresse.

Ce monde médiocrement éclairé par de tristes divertissements.

Un coeur désencombré redevient cristal.

Le silence, ce cadeau que nous ne cherchons plus à ouvrir.

C'est être poète que regarder la vie et la mort en face, et réveiller les étoiles dans le néant des coeurs.

Revêtue de l'éclat de son désastre.

J'ai pris la main du diable. Sous ses ongles noirs, j'ai vu de la lumière.

Nous massacrons toute la douceur de la vie et elle revient encore plus abondante.

J'essaie de vous dire une chose si petite que je crains de la blesser en la disant.



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Notre maison spirituelle