Articles
Affichage des articles du 2014
LES YEUX D'UN ENFANT // Association Noémi
- Obtenir le lien
- Autres applications
Chaque chose a sa place
- Obtenir le lien
- Autres applications
Nul besoin de faire de la Terre un paradis : elle en est un. A nous de nous adapter pour l'habiter. Si on y voit pas, il faut avoir le monde en tête. Il vaut mieux les admirer in situ, là où, pour ainsi dire Dieu lui-même et la nonchalante économie de la Nature ont jugé bon de les placer. La vie n'est pas entassée sur la vie ici, mais vastement parsemée, avec économie et simplicité, chaque élément jouissant d'un lot généreux d'espace.
Belles pommes au fond de l'allée !
- Obtenir le lien
- Autres applications
Ásgeir - Leyndarmál (Hljodriti Session)
- Obtenir le lien
- Autres applications
Merci Leonard pour ce nouvel album !
- Obtenir le lien
- Autres applications
L'homme est comme un ange en danger
- Obtenir le lien
- Autres applications
Le bon vent qui pousse les hommes vers...
- Obtenir le lien
- Autres applications
Quelques citations d'illustres amateurs du breuvage livrées en vrac : On se surprend à marcher su le bord du trottoir comme on faisait enfant, comme si c'était la marge qui comptait, le bord des choses. [Philippe Delerm] Si seulement à l’église on nous donnait de la bière, et un feu confortable pour régaler nos âmes, nous passerions le jour en chants et prières sans jamais vouloir nous en tenir écartés. [William Blake; 1757-1827] Donnez-moi une femme qui aime vraiment la bière et je conquerrai le monde. [Guillaume II; 1859-1941; empereur d’Allemagne] Je bois pour rendre les autres plus intéressant. [George Jean Nathan; 1882-1958; écrivain américain] L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés. [Georges Courteline; 1858-1929] C’est un bon vent qui a poussé les Hommes vers la bière. [Washington Irving; 1783-1859]
Main Square Festival 2014 / Un plein de musique
- Obtenir le lien
- Autres applications
Nicaragua - Honduras - Equateur : un voyage qui part en fumée
- Obtenir le lien
- Autres applications
PAUSE pour un grand corps à l'esprit sain
- Obtenir le lien
- Autres applications
J´aime bien la terrasse des cafés quand le soleil sourit J´aime bien aussi la table du fond dans un petit bar pourri J´aime bien lever mon verre juste en l´honneur de l´instant Trinquer avec des inconnus quand personne ne m´attend J´aime bien conduire le soir au moment où la nuit s´amorce J´aime bien les paysages quand le soleil perd de la force L´étrange humeur maussade, le crépuscule dans le ventre Observer les détails quand chaque minute se réinvente J´aime bien l´instant précis où gentiment la pluie s´arrête Où l´éclaircie s´apprête, où on peut relever la tête Regarder devant soi et s´étonner de voir plus loin Imaginer l´avenir… au moins jusqu´à demain matin J´aime bien regarder la vue, prendre un peu de hauteur Prendre le temps, prendre du recul, prendre les choses moins à cœur J´aime bien faire une pause, penser à toi et sourire Te sentir près de moi et te regarder dormir... Grand corps malade
A Oostende, c'est pas comme partout...
- Obtenir le lien
- Autres applications
Christophe revient et rien a disparu
- Obtenir le lien
- Autres applications
La politique pour changer de paradigme ? Probablement pas...
- Obtenir le lien
- Autres applications
Je pense que la politique telle qu'elle est appliquée n'est pas en phase avec le monde d'aujourd'hui. Alors que c'est l'ensemble de notre planète qui est en jeu, et avec elle le sort des générations à venir, on continue les chamailleries dignes des cours de récréation, l'innocence en moins. Albert Einstein, réagissant à l'ouvrage magistral de Fairfield Osborn La planète au pillage dit : "On sent d'une façon aiguë, en lisant ce livre, la futilité de la plupart de nos querelles politiques comparées avec les réalités profondes de la vie". Même l'écologie, qui concerne de la façon la plus irrévocable chaque être humain et chaque créature, en est réduite à une question subsidiaire et n'aurait même pas sa place sans les quelques individus dont je fais partie, qui tentent difficilement de la lui donner. Il est urgent de prendre conscience de notre inconscience. Ces considérations, si elles sont justes, devraient déterminer la politique
- Obtenir le lien
- Autres applications
« Le plus grand drame de notre époque, c’est d’avoir perdu le contact avec la nature. La moitié de la population vit en ville. La nature n’est jamais prise en compte. On pille ses ressources, on y jette nos déchets. On prétend l’aimer… mais si c’était vrai, on ne la traiterait pas ainsi. Cette déconnexion avec notre mère, cette vie entre béton, macadam et néons, nous durcit et nous fait perdre nos repères. Nous devenons égoïstes, méfiants, calculateurs, car nous sommes devenus des orphelins. Nous avons oublié notre place dans l’univers. Ici, dans la nature, le cœur de l’homme s’ouvre, il retrouve sa modestie, il écoute. » Lynx #offthegrid
Psycho Actif, le blog de Christophe André: Prendre ta douleur
- Obtenir le lien
- Autres applications